Iridologie moderne

1. Savoir observer et analyser les iris : l’iris est la partie colorée de l’œil qui entoure la pupille. On y découvre des colorations, des formes, des cavités plus ou moins grandes et profondes, des tâches, des fibres plus ou moins denses et tendues.

2. Évaluer les forces et les faiblesses physiologiques et psychologiques : à l’instar des empreintes digitales, chaque iris est unique, signant la particularité de chaque être humain.

3. Identifier les excès et les carences. Faire le lien entre les émotions, le vécu, la personnalité et l’état du terrain : l’examen de l’iris permet de dresser un bilan de la nature du terrain d’un individu, celui sur lequel les maladies se développent.
. La présence ou non de toxines dans son organisme et sa capacité à les évacuer : l’état toxémique du sujet.
. Le niveau des ressources minérales, nerveuses et psychiques, en somme la vitalité du sujet.
. Certains aspects de la vie émotionnelle, stress, anxiété, voire des conflits d’ordre psychique.
. Les éventuels dysfonctionnements, fragilités, surcharges, inflammations.

4. Réaliser un bilan iridologique et apporter des conseils personnalisés : Le docteur Bernard Jensen écrit « L’iridologie a sa place mais nous devons reconnaître au départ qu’elle n’est pas universelle. Elle n’est vraiment valable que si nous sommes intéressés par la médecine préventive : si nous voulons enseigner aux gens à vivre correctement. »
Dans  la mesure où ce ne sont que des prédispositions ces états sont observables parfois bien souvent avant l’apparition de symptômes.
C’est pourquoi l’examen des iris semble présenter un intérêt certain dans le cadre d’une approche naturopathique par laquelle un travail sur l’hygiène de vie est proposé au sujet car nous sommes bel et bien dans un cadre préventif.